• La condamnation et la grâce

     PRECEDENT : I / La conséquence du rejet de l’Autorité ? Une transgression suivie d’une condamnation…

    SUIVANT : K / Les raisons possibles du dénuement de l’Autorité

     

     

    J/ La condamnation et la grâce

     

    Petit rajout à propos de la condamnation, car nous sommes tout de même dans le temps de la grâce…

     

    Il est écrit par exemple « aimes ton prochain comme toi-même » et c’est un commandement que le Seigneur nous enseigne n’est ce pas ? Donc si je ne pardonne pas à mon prochain qui peut m’offenser, je suis condamnable, n’est ce pas ? À moins que ce ne soit une broutille, on oublie ou le temps nous fait oublier et Dieu nous fait certainement grâce mais quand c’est quelque chose de plus grave souvent notre conscience, que Dieu a placé en nous, nous reprend et nous ne sommes pas en paix, et je ne pardonne pas alors que je connais la vérité, alors là sauf erreur de ma part il y a des chances que je sois condamnable. Ce que je veux donc dire c’est que je pense qu’il ne vaut mieux pas jouer avec la grâce de Dieu car d’un côté il y la grâce et de l’autre côté, la justice…

     

    Donc pour en revenir au voile, et au verset en question, le texte emploi le verbe « doit » qui a quand même un sens d’obligation…